L’ancien ministre de l’Éducation a expliqué que « jamais l’inquiétude, le sentiment d’abandon, d’incompréhension entre l’école et le pouvoir n’a été ce qu’il est aujourd’hui. La suppression des postes de fonctionnaires, qui pèse en grande partie sur le ministère de l’Éducation nationale, paraît une dérive qui n’a pas de fin », a-t-il dénoncé.
Pour François BAYROU, « l’éducation ça n’est pas une priorité, ça doit être la priorité ».
Il a souligné que « le nombre de candidats aux concours de l’Éducation nationale a baissé de plus de 50% en 5 ans », « si on en est là, c’est bien qu’il se passe quelque chose de profond dans le monde de l’éducation ».
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